Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Et bonne santé pour tous,
Malheureusement, le plus souvent nous répétons les mêmes erreurs.
On aurait même tendance à les justifier en imputant la chose à l’influence externe : la société, l’environnement social, telle ou telle autre personne.
Nous nous devons d’admettre que, naturellement, nous sommes influençables mais que nous disposons d’un potentiel nous permettant de nous protéger.
Il nous appartient de céder à l’influence ou de rester fidèles à notre vérité.
Nous avons coutume le vendredi soir après le Kiddouch de bénir nos enfants en invoquant l’exemple de Menaché et Ephraïm, enfants de Yossef qui, bien qu’ayant grandi et vécu dans la cour du Pharaon, n’ont jamais cédé aux sirènes de l’assimilation.
Pourquoi ?
Et la réponse peut être pour chacun d’entre nous un précieux conseil…
Rappelons-nous de Yossef qui est libéré de sa prison après de longues années de captivité pour être présenté devant le Pharaon en quête d’une interprétation de son rêve.
Dans le texte même, Yossef rapporte les propos qu’il tient, avant et après l’interprétation qui lui octroie le statut de Prince d’Egypte, ne s’accordant aucun crédit ou légitimité pour avoir fait une bonne lecture du rêve de Pharaon.
Il attribua le tout, avant et après, à D.ieu Lui-même. Et avec une telle force de conviction que le Pharaon finit par reconnaitre la grandeur de ce d.ieu.
En d’autres termes, pour que nos enfants restent dans le sillage de notre peuple, nous devons invoquer D.ieu à tout moment de notre vie, de notre quotidien.
Le faire c’est Lui donner Sa place ici bas, c’est inculquer à nos enfants la « crainte du ciel », celle-là même qui fera qu’ils seront moins perméables aux influences externes.
A méditer.
Courage et de bonnes nouvelles bh.
GZ
 
 
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