Rabbi ZOUCHA était particulièrement pauvre, mais malgré cela il était tout le temps joyeux. Il serait difficile pour nous de comprendre son niveau de foi.
Il était tellement humble qu’il ne disait jamais « je ». Le « je » n’était – à ses yeux – réservé qu’à D.ieu lui-même.
Un ‘Hassid parmi tant d’autres s’adresse un jour au Rabbi de KOTSK pour se plaindre à lui : « Je suis pauvre et endetté, sans 1000 roubles je serai condamné avec ma famille à vivre dans les rues ».