Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Moshé raconte à son ami David qu'il a acheté une voiture qui lui permet d'éviter les désagréments des voyages en bus :
-"Je voyage de Marseille à Aix,aller-retour,sans aucun problème"
David décide de faire l'acquisition d'une voiture à son tour et lorsqu'il rencontre
son ami Moshé quelques semaines plus tard,il lui dit :
-"Voilà,j'ai ma propre voiture et je fais Marseille-Aix sans aucun problème sauf un : je ne sais pas ce que j'ai à faire à Aix" .
Nous n'avons aucune raison d'agir par mimétisme .
Le fait que d'autres possèdent quelque chose n'impose pas qu'on dispose de la même chose .
On a tendance tous à souffrir du "syndrome du troupeau",tout le monde fait alors je fais ,tout le monde a alors je dois avoir ...
La Thora nous exhorte à adopter une démarche individuelle (pas
individualiste) .
Lorsque le premier Homme faute,D.ieu l'interpelle :
"Où en es-tu ?" Où est ta responsabilité et ta personnalité avant d'imputer la faute à ton épouse ?
Chacun a sa propre personnalité et chacun doit l'utiliser pour emprunter
son propre chemin sans se soucier de ce que les autres en penseront,non ?
Ne cherchons pas à imiter les autres ...
En adoptant cette règle,on se rendra compte bien vite que "les gens"
apprécient ceux qui ont des principes,une démarche personnelle,un style singulier...
A méditer...
Courage et Bonne journée,
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Cette semaine notre histoire providentielle et authentique nous rappelle qu'un simple communication téléphonique,
au bon moment et devant la bonne personne peut faire basculer une vie ...Providence,vous avez dit Providence ?
Le Rav NEHAMIA est connu pour être un grand pédagogue qui a soutenu et sauvé des centaines d’élèves et des milliers de parents. Le Rav ne s’économise pas, il traverse le pays plusieurs fois dans la semaine pour conseiller, secourir ou orienter…
Ses journées sont pleines comme l’on dit. Le jour il étudie et enseigne, la nuit il part en quête d’âmes en en déshérence.
Ses coordonnées sont connues de tous, il peut répondre à l’appel d’adultes inquiets pour leurs enfants, ou d’enfants soucieux des adultes.
Ce jour-là le Rav NEHAMIA conduit par l’un de ses élèves, doit se rendre dans le sud du pays… Il est plongé dans sa page du Talmud et ne remarque même pas que son élève a accepté un « auto-stop », un adolescent qui se rend dans la capitale du sud israélien. Quelques minutes plus tard la sonnerie de son téléphone rompt le silence.
Ce sont des parents préoccupés par le benjamin de la famille qui devient arrogant, indiscipliné, insupportable. Les parents se plaignent d’attitude contraire au judaïsme et se posent une question dramatique qu’ils soumettent à présent au Rav NEHAMIA : « Ne doit-on pas le renvoyer de la maison ? C’est un mauvais exemple pour les autres… ».
Le Rav NEHAMIA répond dans un soupir : « Vous savez, peut-être que D.ieu lui-même pleure d’avoir exilé ses enfants dont Il regrette l’absence… Il a le mal de chaque enfant qui s’éloigne de lui. D.ieu vous envoie une épreuve certes, mais celle-ci peut attester de sa propre douleur… Votre enfant vous a été confié par D.ieu. Vous devez malgré tout le couvrir d’affection et d’amour, D.ieu y sera sensible et vous aidera à surmonter vos difficultés parce que votre enfant est aussi le sien.
Sans connaître votre enfant, je peux vous dire que ses problèmes sont liés au fait qu’il ne dispose pas d’outils pour les résoudre. Ne l’éloignez pas, prenez-le tel qu’il est dans vos bras et D.ieu fera le reste.
Un enfant ne s’élimine pas, ne se « résout » pas comme une équation simple. Tenez bon, s’il le faut je lui parlerai. »
A l’autre bout du fil un long silence suivi par des pleurs, les parents remercient le Rav NEHANIA de les avoir éclairés et renforcés. Le Rav raccroche, lève son regard, et là il aperçoit un adolescent qui lui aussi est en pleurs.
- « Mais qui es-tu jeune homme ? Et pourquoi pleures-tu ? »
La réponse ne tarde pas…
- « J’ai fait de l’auto-stop et votre élève a accepté que je me joigne à vous. C’est D.ieu Lui-même qui a enchaîné les événements jusqu’à ma présence ici car vous venez de parler à mes parents. Je vous promets, Rav de faire les efforts requis à la quiétude de mes parents, de ma famille et de mon … âme ! »
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande…
Courage et Chabbat Chalom
GZ
Par exemple, ces nouveaux aliments pourront contenir tous les besoins nutritifs pour tenir une journée complète.
Il sera donc possible d'obtenir une alimentation sur mesure en fonction des besoins de chaque individu, par exemple, sans glutène, sans sucre, sans cholestérol, avec telle ou telle vitamine etc,
il sera également possible d'ajouter à cette nano-cellulose des gouts en fonction de chaque individu !
Pallelons que la "Yissum Research Company" est une société qui a été créée en 1964 dans le seul but de commercialiser les innovations mises au point par les chercheurs de l'université de Jérusalem.
Bref, une vraie révolution pour notre alimentation de demain......Regardez !
Source Koide9enisrael
Dans ce cours magnifique et succinct le Rav ouvre de nouveaux horizons dans notre vie en expliquant une discussion qui a opposé le Ramban (Nah'manide) et Rachi (Rabbi Chlomo Itsh'aki).
Bonne écoute à tous!
Source: TORAH ACADEMY
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Un ouvrier arrivait chaque jour avec le même sandwiche qui lui servait de déjeuner : sandwich à la confiture .
L'un de ses collègues l'entendit se plaindre pendant la pause :
-"Encore du pain avec de la confiture,je déteste cela!"
Aussi l'interrogea-t-il :
-"Pourquoi ne demande-tu pas à ton épouse de préparer autre chose?"
La réponse fusa :
"Ce n'est pas ma femme qui prépare mon sandwich,mais moi-même"
Les remarques désobligeantes,les critiques et les humiliations qu'on subit
finissent par nous détruire à force de répétition .
Comment est-il possible que l'on se prépare quotidiennement ce "sandwich
avec de la confiture",nous détruisant à petit feu ?
On mène tout le temps un dialogue avec soi-même,si l'on se dit des choses
positives,on trouvera en notre personne un ami.
Dans le cas contraire,à force d'auto-critique,nous serons notre pire ennemi .
Celui qui se répète inlassablement ,"je suis nul,je ne réussirai jamais",se conduit comme cet ouvrier qui se prépare un sandwich à la confiture qu'il n'aime pas,il ne fait que polluer sa vie en lui opposant amertume et paralysie ...Non?
Courage et Bonne journée,
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Commençons par une petite histoire...
A la sortie de Kippour,il est d'usage de procéder à la "Bénédiction de la lune".
Une année,le Baal Chem Tov et ses élèves sortirent dans la cour de leur Beth Hamidrach avec l'intention d'exécuter ce commandement,mais point de lune,le ciel était couvert d'épais nuages .
Le Baal Chem Tov s'isola dans son bureau et se mit à prier avec ferveur pour
qu'un vent vienne les chasser afin de pouvoir accomplir la bénédiction .
Le Baal Chem Tov connaissait les secrets de la prière,et généralement réussissait
à ouvrir les portes du ciel et être exaucé dans ses voeux .
Mais là rien ...
Ses élèves qui s'impatientaient dans la chambre voisine se mirent à chanter et bientôt à danser.
Pris par leur enthousiasme,ils ouvrirent la porte du bureau de leur Maître,avant de l'entraîner dans une danse hassidique endiablée ...
Quelques instants plus tard,l'un des élèves s’écria : " La lune est là,les nuages nous quittent".
Ainsi le Baal Chem Tov et ses disciples purent bénir la lune .
A l'issue de la prière,le Maître s'adressa aux élèves :
"Ce que je n'ai pu obtenir par mes prières,vous l'avez obtenu par la ...joie "
Nous tous devrions nous inspirer de ces paroles ...Quand nous nous sentons oppressés,démunis ...
essayons de nous réjouir en chantant,en dansant même seuls chez soi sur des notes hassidiques.
Ceci générera de la joie,de l'énergie puis la délivrance de nos problèmes ...
A expérimenter ...
Courage et Bonne journée,
GZ
Lors d'une précédente émission, nous sommes allés à la rencontre de 4 personnes ayant vécu une expérience de mort imminente ou EMI.
Pour réfléchir à ces expériences, nous ne sommes, de nouveau, penchés sur les sources Juives qui abordent le thème de l'au-délà...
Un documentaire de David Szerman
Lorsqu’un train plein de prisonniers juifs est arrivé à l’un des centres d’extermination nazis, de nombreux polonais sont sortis pour regarder le dernier groupe qui était emmené.
Les Juifs désorientés rassemblaient les biens qu’ils voulaient prendre avec eux dans le camp, lorsqu’un officier nazi appela les villageois qui étaient à proximité : « Vous pouvez prendre tout ce que ces juifs laissent, car c’est sûr qu’ils ne reviendront pas pour les reprendre ! »
Deux femmes polonaises qui se tenaient non loin de là ont vu une femme vers l’arrière du groupe, portant un grand manteau, lourd et qui avait l’air cher. N’attendant pas qu’une autre personne ne prenne le manteau avant elles, elles ont couru vers la femme juive, l’ont jetée à terre, lui ont saisi son manteau et sont parties à toute allure.
S’éloignant des autres, elles ont rapidement posé le manteau par terre pour partager le butin qui était dissimulé à l’intérieur. En fouillant dans les poches, elles ont découvert le cœur chavirant des bijoux en or, des chandeliers en argent et d’autres objets de famille. Elles étaient ravies de leurs trouvailles, mais lorsqu’elles ont de nouveau soulevé le manteau, il semblait toujours plus lourd qu’il n’aurait dû être. Après avoir encore vérifié, elles ont trouvé une poche secrète, et caché à l’intérieur du manteau il y avait un bébé... une petite fille !
Choquées par leur découverte, une des femmes a eu pitié et a plaidé auprès de l’autre, « Je n’ai pas d’enfant, et je suis trop vieille aujourd’hui pour en avoir un. Prenez l’or et l’argent et laissez-moi le bébé. » La femme polonaise emporta sa nouvelle « fille » chez elle, au plus grand plaisir de son mari. Ils ont élevé la petite fille juive comme leur propre enfant, la traitant très bien, mais ne lui révélant jamais quoi que ce soit à propos de ses antécédents. La jeune fille excella dans ses études et devint même médecin, travaillant en tant que pédiatre dans un hôpital en Pologne.
Lorsque sa « mère » décéda de nombreuses années plus tard, une visiteuse vint pour lui présenter ses condoléances. Cette vieille femme s’était invitée elle-même et dit à la fille: « Je veux que vous sachiez que la femme qui est décédée la semaine dernière n’était pas votre vraie mère … » et elle s’est mise à lui raconter toute l’histoire. Elle ne la croyait pas au début, mais la vieille femme a insisté.
« Quand nous vous avons trouvée, vous portiez un magnifique collier en or avec une écriture étrange, qui doit être de l’hébreu. Je suis sûre que votre mère a gardé le collier. Allez voir de vous-même ». En effet, la femme ouvrit la boîte à bijoux de sa mère décédée et trouva le collier tout comme la vieille dame le lui avait décrit. Elle était choquée. Il lui était difficile d’imaginer qu’elle avait été d’origine juive, mais la preuve était là, dans sa main. Comme ce fut son seul lien vers une vie antérieure, elle chérit le collier. Elle l’avait fait agrandir à la taille de son cou et le portait tous les jours, même si elle n’avait aucune pensée pour ses racines juives.
Un peu plus tard, elle est allée en vacances à l’étranger et a rencontré deux garçons juifs qui étaient sur une rue principale, essayant de convaincre les passants juifs de porter des Tefillins sur les bras (pour les hommes) ou d’accepter des bougies pour les allumer le Chabbat, le vendredi après-midi (pour les femmes). Saisissant cette occasion, elle leur a raconté toute son histoire et leur a montré le collier. Les garçons ont confirmé qu’un nom juif était inscrit sur le collier, mais ne savaient pas quel était sa situation du point de vue religieux. Ils lui ont conseillé d’écrire une lettre à leur mentor, le Rabbi de Loubavitch, pour tout lui expliquer. Si quelqu’un saurait quoi faire, ce serait lui.
Elle suivit leurs conseils et envoya une lettre le jour même. Très vite, elle reçut une réponse indiquant que selon les faits il était clair qu’elle est bien une jeune fille juive et peut-être qu’elle devrait envisager d’utiliser ses compétences médicales en Israël où les pédiatres talentueux sont très recherchés. Cela éveilla sa curiosité, et elle se rendit en Israël où elle consulta un tribunal rabbinique (Beth Din) qui la déclara juive. Peu de temps après, elle fut acceptée dans un hôpital pour travailler, et ensuite rencontra son mari et éleva une famille.
En août 2001, un terroriste a fait exploser le café Sbarro dans le centre de Jérusalem. Les blessés ont été transportés à l’hôpital où cette femme travaillait. Un patient a été amené, un homme âgé en état de choc. Il cherchait partout sa petite-fille qui avait été séparée de lui.
Demandant comment elle pourrait la reconnaître, le grand-père frénétique donna une description d’un collier en or qu’elle portait.
Finalement, la petite-fille fut retrouvée parmi les blessés. A la vue de ce collier, la pédiatre se figea. Elle se tourna vers le vieil homme et lui dit: « Où avez-vous acheté ce collier ? » Il lui répondit « Vous ne pouvez pas acheter un tel collier. Je suis orfèvre et j’ai fait ce collier. En fait, j’en ai fait deux tout à fait identiques pour chacune de mes filles. Voilà la petite-fille de l’une, et mon autre fille n’a pas survécu à la guerre » .
Et voilà comment une fille juive, brutalement arrachée à sa mère sur une plate-forme de camp nazi il y a près de 60 ans, a retrouvé son père...
Source: TORAH BOX
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Cette semaine notre histoire providentielle et authentique traite d'une ....Pâtisserie ...Oui !
Le ‘Hazon Ich disait que les hommes d’affaires prospères « sifflent d’assurance personnelle »… Les affaires étant probantes, ces riches ou nouveaux riches, disait-il, gagnaient en assurance et en certitude. Plus facilement que d’autres ils peuvent claironner : « Que tout vient d’en haut » quand les caisses sont pleines.
Mais que se passe-t-il quand les affaires déclinent ? Toute l’assurance disparait, la foi elle-même est ébranlée…
C’est ce qui est arrivé à Elie ARDITI, patron de la « Pâtisserie Rose » d’un quartier huppé de Jérusalem. Une décennie plus tôt c’est la grand-mère de son épouse qui lui suggéra de se lancer dans la pâtisserie. Il en fut fortement troublé car il n’avait aucune formation en la matière. Au vu de l’insistance de sa belle-famille il entreprit de consulter son maître, le Rav KLEIN.
Le Rav réfléchit avant de lui dire : « Le plus important c’est de garder à l’esprit que c’est D.ieu Lui-même qui subvient à nos besoins… Le médecin n’est pas habilité à guérir, l’entrepreneur à construire, l’instituteur à enseigner… sans l’aide du Tout-Puissant. Mazal Tov ! »
Et c’est ainsi que notre Elie se lança dans la pâtisserie... En peu de temps il fit l’apprentissage de ce métier, et réussit à se faire un nom : la « Pâtisserie Rose » du nom de la grand-mère fut connue et reconnue dans tout Jérusalem.
Mais voilà qu’un jour, Elie se précipite chez le Rav, il semble fortement préoccupé : « Rav, la chaine de pâtisserie NEEMAN est sur le point d’ouvrir une pâtisserie en face de la mienne. Les prix seront certainement plus bas que les miens que faire ? »
Le Rav réfléchit avant de lancer :
- « Et bien, tu vas augmenter tes prix de 10 shekels pour chaque pâtisserie… ».
Elie est interloqué mais il connait bien son Rav et sait qu’il n’a le droit à aucune objection. Il va s’exécuter.
Quelques jours plus tard, haletant, il revient voir le Rav :
- « Rav, la chaine AROMA ouvre un commerce près du mien, une pâtisserie, mes affaires sont condamnées ! que faire ? »
Le Rav se détache de sa page talmudique avant de dire :
- « Nous allons augmenter encore nos tarifs de 10 shekels… »
Elie s’en désespère, mais de nouveau il suit les recommandations de son maître. Trois ou quatre semaines plus tard Elie revient, et avant-même qu’il puisse s’exprimer, le Rav, sourire aux lèvres, déclare :
- « Une nouvelle pâtisserie concurrente ? »
Elie rétorque :
- « Non Rav, mais je vais vous annoncer que les affaires ont repris et que mon chiffre d’affaire est en hausse. Mais Rav, pourquoi m’avoir conseillé d’augmenter mes tarifs ? Et comment expliquer que cela ait pu marcher ? »
Le Rav le regarde avec tendresse et explique : « Vois-tu Elie, si je t’avais conseillé de t’inscrire dans une logique concurrentielle, tu ne te serais pas remis entre les mains de D.ieu. En augmentant tes prix, tu as aussi augmenté tes prières, et elles ont été écoutées. N’oublie pas c’est D.ieu qui subvient à nos besoins, en toute conscience ».
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande…
Que nos prières accompagnent nos élèves de 1ères qui partent Dimanche pour la Pologne avant de rejoindre Israel:
« De l’Ombre à la Lumière ».
Courage et Chabbat Chalom
GZ
Ce cours sur la Parachat Noah' doit être un enseignement pour nous tous!
Bonne écoute à tous!
Source:TORAHACADEMY.FR