Cette chanson écrite en 1925 par Lew Pollack, exprime la sensibilité et l'amour d'une mère juive pour ses enfants et sa famille.
Interprétée par le cantor Yitzchak Meir Helfgot et magistralement accompagné au violon par l'israélien Itzhak Perlman,
considéré comme l'un des plus grands violonistes du XXe siècle et du XXIe siècle .
Source: UNIVERS TORAH
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Que faire quand on se sent impuissant face à certains problèmes ?
Souvent,la réponse la plus juste serait : Rien !
Bien sûr,on pense à des situations où spécifiquement,on est dans une
telle impasse qu'il n'y a absolument rien à faire.
La seule chose à faire est justement de ne pas fixer son attention sur le problème,
en étant actif de par ailleurs de sorte que celui-ci ne pèse pas sur notre
quotidien de façon inconsidérée .
Bien sûr,à cela,nos Maîtres recommandent la prière.
La prière "conventionnelle" est celle que l'on trouve dans les livres,rédigés
par nos Maîtres depuis longtemps.A celle-la,on peut ajouter la prière
personnelle,dans son propre langage,avec ses propres besoins,dans sa
propre langue si nécessaire...La prière étant un acte de foi.
Même au point culminant de la difficulté,ne jamais oublier que demain est un jour
nouveau,avec d'autres nouvelles,d'autres perspectives et opportunités ...
Courage,et de bonnes nouvelles ...
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Le Zohar rapporte qu'un jour Rabbi Abba croisa sur son chemin un homme
qui s'apprêtait à camper au pied d'une colline .
L'homme s'allongea et voici qu'un serpent se dirigea vers lui,une branche d'arbre se détacha et tua le serpent.Aussitôt après,un éboulement se produisit sans aucune pierre ne vienne heurter l'individu .
Rabbi Abba qui assista médusé à la scène s'adressa à l'homme :
-"Raconte moi ta vie,ton mérite pour avoir été sauvé d'une mort certaine,
successivement et par deux fois?"
L'homme répondit :
-"Toute ma vie je n'ai tenu rigueur à personne,et particulièrement à ceux qui m'ont causé du tort.
Au contraire,j'allais me réconcilier avec eux,et le soir avant de dormir je m'appliquais dans ma prière à déclarer que je leur pardonne s'ils sont responsables et que je me repenti de mes fautes..."
Le plus souvent,il nous est pénible de pardonner...Le Zohar affirme littéralement que celui qui surmonte cette tendance ancrée dans notre nature mérite que "D.ieu modifie les lois de la nature en lui offrant des miracles" ...Or,nous en avons tous besoin de miracles,non ?
Alors soyons plus indulgents,ne laissons plus notre égo décider pour nous .
Courage,et de bonnes nouvelles bh.
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov ,
Yohanane BEN ZAKAY est celui qui a réussi à l’époque de la destruction du second temple, à sauver la ville de Yavné ainsi que tous les sages qui y résidaient.
Ainsi, est-il considéré comme celui qui a sauvegardé la flamme du judaïsme de l’extinction totale.
Yohanane BEN ZAKAY est aussi le nom d’un Rav d’une grande Yechiva située au centre d’Israël.
Le Rav BEN ZAKAY, héritier d’un nom si célèbre est père de 8 enfants et le maître de plusieurs centaines d’élèves qu’il a pu former au cours de sa riche carrière.
Le Rav BEN ZAKAY s’était marié à l’âge de 21 ans avec Hanna qui ne manquait jamais d’occasion pour le soutenir. Leur première fête de pessah demanda beaucoup d’efforts à Hannah car son époux accumulait une grande collection de livres qu’elle entreprit de ranger et classer.
Elle découvrit un petit livre qui portait un autocollant affichant : Mendel BELCHAIM – Bne Brak.
Elle le disposa délicatement sur la petite table de travail de son époux en se disant qu’il faudrait restituer ce livre à son propriétaire.
Le soir venu, elle interrogea son mari sur l’identité de ce MENDEL mais celui-ci ne sut s’en rappeler…
Tous deux se promirent de le lui expédier par voie postale dès le lendemain.
Mais, voyez-vous, D.ieu a ses propres considérations, ce livre traîna 20 ans durant, dans la bibliothèque.
D’un pessah à l’autre, Hanna insiste auprès de son mari pour que celui-ci le restitue, puis comme frappés d’amnésie, tous deux oublient leur résolution jusqu’à la… 20e année.
Allez savoir pourquoi, cette année là, le Rav BEN ZAKAY, fait des recherches et trouve une adresse, se rend à la poste pour expédier le petit livre.
Précisons qu’à l’époque sévissait le terrorisme de l’anthrax, cette poudre blanche capable de tuer à son seul contact.
Rendons nous à présent à Bné Brak.
Giora BELCHAIM, l’aîné promit à sa mère d’aller chercher le colis dont elle venait d’accuser réception de son avis de mise à disposition et découvre que le colis est au nom de son père décédé 10 ans plus tôt, il pense immédiatement à l’anthrax… Ce sentiment est amplifié quand il prend connaissance du nom de l’expéditeur : Yohanane BEN ZAKAY.
Giora en parle avec le fonctionnaire de la poste qui en convient : « il faut faire vérifier par la police le contenu de ce colis, avant éventuellement de vous le livrer chez vous. »
Parlons de la famille BELCHAÏM qui compte 3 frères et une sœur… Cette dernière est en passe d’officialiser ses fiançailles, la belle famille et l’heureux élu sont conviés le soir même à un repas à l’issue duquel la date de mariage sera fixée.
Mais les frères, leur maman et leur petite sœur sont aux prises avec leur conscience.
La petite sœur souffre d’une maladie rare, si le futur époux souffre du même mal, ils n’auront pas d’enfants. Sachant que comme son nom l’indique il s’agit d’un mal très rate, faut-il le divulguer à la belle-famille et au futur époux ou se taire ?
Un débat houleux s’engage dans le petit salon de leur vieil appartement : il y a les « pour » et les « contre… »
La maman elle évoque la mémoire de son mari pour affirmer avec force qu’il faut opter pour la vérité : « C’est ce que prônait votre père, la vérité uniquement la vérité. »
C’est à ce moment précis qu’on frappe à la porte, c’est le facteur .
Dans le colis un livre au nom justement de Mendel père de cette grande famille, le livre lui, porte un titre qui ressemble bien à un message posthume : « Eloigne toi du mensonge ».
Les membres de la famille comprennent ce message…
Heureusement… car même s’il y avait qu’une faible chance que le futur époux soit frappé de la même maladie rare, c’était le cas.
Les deux familles se séparent, la petite sœur rencontra son « mazal » quelques semaines plus tard, mais cette fois sans aucun risque médical.
Hasard ou providence ?
Je vous le demande…
Courage et Chabbat Chalom,
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Le maître,auteur du livre " Orhot Tsadikim" pose deux conditions préalables à la joie de vivre :
1)Ne pas prendre à coeur,nous avons les rênes .
Il écrit :"Plus son coeur est habité par la sérénité,moins il s'expose au mal".
Chacun d'entre nous peut connaître des moments éprouvants dans sa vie,même si
on ne choisit pas de les vivre,on peut choisir la forme de réaction que l'on adoptera à leur égard,ce qui conditionnera leur impact sur nous.
Allons-nous donner à ces contrariétés la possibilité de s'emparer de notre coeur ou pas ?
Pour préserver notre coeur on doit le vider des contenus qui pourraient le polluer.(que ceux-ci appartiennent au passé ou soient liés au présent.)
2)Apprécier à sa juste valeur ce que l'on a déja le "Baal Orhot Tsadikim" ajoute :"celui qui apprend à se suffire de ce qu'il a ne connaîtra jamais la tristesse."
L'une des principales raisons de la tristesse et de la frustration découle de notre tendance à vouloir encore
plus,à occulter ce que l'on a déja ...
Exemple ?
Que D.ieu vous en préserve,une personne tombe malade et prend conscience de la véritable valeur de la vie,
de la santé dont elle n'a su apprécier la valeur...
Le meilleur exercice pour surmonter cette tendance est de commencer sa prière personnelle en énumérant les points positifs de sa vie,ainsi peu à peu on pourrait ne plus fixer notre attention sur ce qu'il manque,mais plutôt sur ce dont est généreusement pourvu,non ?
Courage,et de bonnes nouvelles bh ...
GZ
*Le livre "Orhot Tsadikim" a été écrit il y'a de cela 550 ans par un Rav ayant choisi de rester anonyme,il traite du travail sur soi au niveau de qualités humaines et du service divin .
Ne vous laissez pas influencer par vos pensées négatives. Pourquoi et comment ?
Ecoutons de belles paroles du fond du coeur, signées Rav Yigal Cohen :
Source: TORAH BOX
Chers Amis Et Chers Enfants Boker Tov,
Si vous m'interrogez : "De qui est-il préférable d'apprendre?" spontanément je vous répondrais de ceux qui sont dotés de sagesse .
Les "Maximes de nos Pères" donnent une autre réponse :
"Quel est le Sage ? Celui qui apprend de chaque homme."
On peut aisément comprendre et admettre qu'on aurait à apprendre de toute personne ayant vécu une expérience qui m'est étrangère.
Mais le Baal Chem Tov va plus loin,il affirme qu'on peut aussi apprendre
des défauts des autres :
"Celui qui observe les défauts des autres,doit s'en inspirer pour les exclure de son comportement sans jamais juger,encore moins condamner
autrui".
Ainsi explique le Baal Chem Tov,on peut apprendre de la sagesse des autres,de leurs défauts,donc de tout homme,comme l'affirment nos Maîtres.
Soyons attentifs aux autres avec bienveillance,toujours...
Courage et de bonnes nouvelles .
GZ