SOURCE:YT/TORAH BOX
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Une nouvelle histoire vraie et fort utile,suivez nous ....
Personne ne sut exactement ce qui s’était passé, mais tout le monde avait perçu un changement…
Le regard de nos grands-parents, habituellement si bienveillants, était comme perdu au loin.
Leur maison avait toujours été un lieu de joie, nous nous retrouvions tous, enfants et petits-enfants, chantant autour de la table, dégustant les bons mets de ma grand-mère avec plaisir et gaieté.
Mais ce soir-là, une certaine tension était palpable…
Ma grand-mère, aidée de ses filles et belles-filles, servit le repas sans esquisser le moindre sourire. Et mon grand-père, après quelques minutes seulement, quitta la table…
Nous attendions le bon moment, celui où les plus petits étaient sortis de la pièce pour interpeller ma grand-mère : « Votre père et grand-père est très malade » déclara-t-elle avant de pleurer… « Une opération dont le résultat est incertain est programmée dans trois semaines, ses reins sont affectés » poursuivit-elle.
La nouvelle nous plongea dans une tristesse et une inquiétude accablante.
Nous essayâmes certes de la rassurer, mais le cœur n’y était pas. Nous comprîmes alors pourquoi grand-père fut méconnaissable depuis quelques jours…
Celui-ci avait un ami, Shimon, qui tenait une librairie juive. Quand il prit connaissance de la nouvelle, après quelques instants de réflexion, il lui dit :
- « Vois-tu, j’ai entendu parler d’un livre exceptionnel, celui du Rav Shimon ‘Haim Na’hmani Zatoar et qui s’intitule Zera’ Shimshon… Ce livre est difficile à comprendre, et son auteur promit que celui qui l’étudierait une fois par semaine verrait ses vœux exaucés… Qu’as-tu à perdre ? »
Mon grand-père, qui était un homme de foi, décida de l’acquérir et aussitôt après se mit à le lire et à l’étudier.
Deux semaines plus tard, l’hôpital contacta mon grand-père pour l’informer qu’un autre médecin que celui qui l’avait vu initialement souhaitait le rencontrer en vue de l’opération qui s’annonçait.
Mon grand-père se rendit au RDV non sans appréhension. Quelques radiologies et autres examens furent pratiqués avant que le médecin ne le reçoive.
Après les amabilités d’usage, le médecin se saisit des radiologies pour les étudier.
De très longues minutes passent, ce qui accroit l’inquiétude de mon grand-père qui s’attend au pire.
Le médecin finit par le fixer et lui dit : « Cher monsieur, cela m’embarrasse pour mon collègue qui vous a reçu il y a de cela un mois… Mais cela me réjouit pour vous, vous n’avez rien, mais rien. Rentrez chez vous et profitez de la vie… ».
Nous n’avons aucun doute sur la relation de cause à effet, aussi avons-nous décidé de diffuser les noms de l’auteur et du livre « Zera’ Shimshon » du Rav Shimshon ‘Haim Na’hmani.
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande…
Courage et Chabbat Chalom.
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Des attentes irréalistes sont source de douleur pour nous ...
On attend tellement de la vie que cela se termine toujours de la même
façon : déception,frustration et tristesse .
C'est un travail important à faire sur soi que celui de modérer ses attentes
d'autant que le plus souvent elles sont excessives...
Exemple ?
Si vous vous présentez à votre station de bus 15 minutes avant l'horaire de son
arrivée,votre attente ne sera pas frustrante.Si le bus arrive avec 15 minutes de retard,
il est à parier que vous serez contrarié parce que vous l'attendiez.
Mais pourquoi avons-nous tendance à croire que tout doit se passer comme
on l'espère et on l'entend ?
Il eut été certes agréable de mettre en phase notre vie et nos attentes,mais
c'est impossible,admettons-le !
Le Roi David disait :"Les calculs de l'homme sont nombreux,mais c'est finalement
le projet divin qui l'emportera" (Traduction libre)
Alors soyons moins tendus,moins capricieux et laissons les choses se dérouler comme
elles doivent se dérouler,Non ?
Courage et de bonnes nouvelles .
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Le Baal Chem Tov affirme :"Chaque homme peut prétendre à un niveau spirituel aussi élevé que celui de nos plus grands maîtres.
Ce qui l'en empêche c'est son orgueil qui agit telle une barrière endiguant sa spiritualité.
De plus l'orgueil génère la tristesse qui le paralyse dans sa vie"
Le Baal Chem tov explicite sa pensée en précisant que l'orgueil vous fait en réalité rejeter les conditions de votre vie car quand on a une haute opinion de sa personne,on n'admet aucune difficulté de la vie.
Or c'est le lot quotidien de tout homme...
Aussi cela vous place dans une posture permanente de frustration,de tristesse,de paralysie.
Alors cultivons notre qualité d'humilité : si on est doté d'un potentiel intellectuel,si on dispose d'un physique avantageux ...
Ce n'est pour nous sentir supérieurs aux autres ...
Ce sont des outils qui doivent être utilisés à bon escient,Non ?
Courage et de bonnes nouvelles.
G.Z
"Mon enfant chéri,
Je voudrais te souhaiter une Chana Tova, une bonne et douce année, et te confier certaines choses que Je pense que tu dois à tout prix savoir.
Lorsque Je t’observe, Je vois un être radicalement différent du reflet qui s’offre à toi lorsque tu te regardes dans le miroir. Parce que toi, tu te vois comme tu es maintenant. Tandis que moi, quand Je t’observe, Je vois l’être que tu peux devenir. Et mon objectif premier est de t’aider à progresser depuis l’endroit où tu te trouves maintenant, jusqu’à celui que Je sais que tu peux atteindre.Parfois, tu te mets toi-même à l’épreuve et t’évertues à devenir cet être que j’ai eu en pensée lorsque Je t’ai créé. Alors Je me contente de t’observer, avec un plaisir non dissimulé, et te guide avec douceur dans cette direction.
J’orchestre les événements et expériences de ta vie quotidienne pour te permettre de remplir au mieux ton objectif.
D’autres fois, Je dois te poser des défis et des obstacles pour te permettre de traduire ta grandeur potentielle en excellence avérée. Je sais que ces moments sont parfois douloureux, mais si Je ne te mets pas à l’épreuve, tu ne déploieras jamais ton potentiel. Je t’en prie, rappelle-toi que durant ces moments, Je suis plus proche de toi que jamais.
Et puis, Je voudrais te parler de l’un de mes éminents fonctionnaires. C’est le vice-président du département Développement Humain. Il s’appelle Yetser Hara, mauvais penchant, et il travaille pour moi 365 jours par an, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
Le Yetser Hara a une mauvaise réputation, mais en réalité, il est ton meilleur allié. Sans lui, tu demeurerais un moins-que-rien ad vitam æternam. Je lui ai donné carte blanche pour te lancer des défis constants et te confronter à un flot ininterrompu de tactiques originales, mais ceux-ci ont pour seul et unique objectif de te défier de progresser et de t’améliorer. Le Yétser Hara et moi n’avons qu’un seul but pour chaque affrontement que tu as avec lui : nous voulons tous deux que tu le vainques et lui montres ce dont tu es capable. Bien entendu, une fois que tu triomphes de lui, je te le renvoie avec un obstacle encore plus difficile à surmonter, parce que c’est ainsi que tu deviendras quelqu’un d’exceptionnel.
J’ai un bon conseil à te donner : parle-moi. Le plus souvent possible. Et ne pense surtout pas que Je ne comprends que l’hébreu. Aucune langue n’a de secret pour moi. Alors n’hésite pas à t’adresser à moi dans ta propre langue. Et surtout, n’attends pas d’être à la synagogue pour le faire : parle-moi à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, quelque soit l’activité dans laquelle tu es engagé — quand tu conduis, ou quand tu marches dans la tue. Parle-moi avant d’aller dormir. Et surtout, parle-moi pendant Chabbath. Je suis toujours disponible et Je sais très bien écouter les autres.
À vrai dire, Je te comprends mieux que quiconque d’autre (y compris toi-même) parce que tu m’appartiens et c’est moi qui t’ai créé. Alors, ne joue pas les timides, ne te sens pas gêné ; épanche ton cœur devant moi et Je te promets que Je te répondrai.
Et puis, n’oublie pas de profiter du Chabbath ; c’est un cadeau spécial que Je t’ai offert. Éteins ton portable, ordinateur, tablettes et autres gadgets et profite du calme pour profiter de toutes les relations qui t’importent tant : ta relation avec Moi, ta relation avec toi-même et ta relation avec toutes ces personnes qui te sont chères. Même si tu n’arrives pas à mettre à profit les 25 heures à cette fin, efforce-toi de consacrer au moins une partie de ce jour pour te rapprocher de moi.
Je vais te révéler un secret : je m’adresse à toi tout le temps, mais je parle dans un faible murmure. Mais avec tous ces sons qui me font concurrence, cette cacophonie de bruits qui t’entoure, ma voix passe inaperçue. Trouve un petit moment de calme pendant Chabbath et tends l’oreille.
Tu seras surpris par ce que tu entendras.
Ne t’avise pas à traverser le chemin de la vie en solitaire. Je voudrais que tu trouves un mentor qui puisse te guider, t’enseigner et te montrer comment Me trouver et te rapprocher de Moi. Quand tu auras trouvé une telle personne, attache-toi à lui ou elle et ne lâche pas prise. Fais en sorte qu’elle t’enseigne et te guide et surtout, prends ses conseils à cœur.
En parallèle, tâche de trouver un compagnon qui t’accompagnera durant ce chemin. Il te sera beaucoup plus facile d’entreprendre ce périple si tu es en bonne compagnie. De cette manière, vous pourrez tous deux vous assurer que vous maintenez le cap et avancez dans la bonne direction.
Si tu en as la possibilité, fais l’effort de venir dans l’endroit au monde où Ma présence se fait le plus ressentir. Passe quelque temps à Jérusalem, Ma cité éternelle, et absorbe la sagesse qui émane de ses murailles antiques.
À propos, Roch Hachana approche. C’est l’anniversaire de la création de l’Homme, un jour où Je me penche de nouveau sur la Pièce cosmique de l’histoire humaine et écris la scène suivante pour l’année à venir. Réfléchis au grand rôle que tu voudrais endosser. Je suis prêt à te laisser choisir n’importe quel rôle que tu souhaiterais jouer. Alors vois les choses en grand et brosse un tableau passionné de l’être que tu désires devenir l’année prochaine. Et à Roch Hachana, au lieu de compter les pages qui te restent dans ton livre de prière, parle-Moi et fais-Moi savoir le rôle que tu voudrais jouer.
Le Livre de la Vie sera ouvert en ce jour, et Je te confie la plume entre tes mains. Choisis la vie."
Avec tout mon affection,
Ton Père qui est au Ciel qui croit en toi et t’aime sans réserve
SOURCE: TORAH BOX
Chers Amis et Chers Enfants,
Un jour,une personne gagna à la loterie nationale .
Son proche ami l'interrogea :
-"Comment as-tu fait pour deviner les numéros gagnants ?"
La réponse du grand gagnant ne tarda point :
-"J'ai rêvé que les numéros pairs seraient les gagnants,et le matin,j'ai joué
des numéros impairs..."
L'ami étonné ajouta :
-"L'intelligence n'est ton point fort,pourquoi avoir fait cela?"
La conclusion fut la suivante :
"Toi avec ton esprit matheux et rationnel,tu resteras toute ta vie... pauvre !"
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On aspire tous à réussir,à gagner,mais sur le chemin on peut rencontrer des
obstacles,voire des échecs .
Il est important de comprendre que souvent les erreurs de parcours sont
indispensables à la réussite du parcours.
On n'est pas le plus intelligent,ni le plus brillant des hommes...Ce n'est pas grave,
ne prenons pas à coeur .S'il est décrété -La-Haut-que vous devez réussir,vous
réussirez,vous ne devez faire qu'une chose...un effort...Non ?
Courage et Bonne journée,
GZ
Le chanteur brésilien Micha Gamerman nous revient à l'occasion des fêtes avec un clip très spécial tiré de son dernier album "Les fêtes d'Israel". Les paroles sont celles de passages célèbres du rituel de Roch Hachana-Kippour Achkénaz ou Séfarad.
Le clip, entièrement animé, décrit ainsi l'atmosphère des "jours de pénitence" (période allant de Roch Hachana à Kippour).
Source: FB/UNIVERSTORAH
Depuis 2 ans notre établissement a l’honneur et le plaisir de participer à l’action ô combien louable de cette association.
Nos élèves contribuent avec conviction, enthousiasme et abnégation à cette œuvre dont le noble objectif est conforme aux valeurs du ‘hessed et de la solidarité aussi précieuses que nécessaires.
Cela sous la conduite de l’exceptionnelle Shirel Haddad.
« S’épauler pour grandir ensemble… », telle est la devise de l’association.
Cette année les bénévoles sont encore plus nombreuses pour vous aider:
alors que l’année dernière elles étaient une vingtaine - dont 15 du Gan Ami -,
aujourd’hui Ani Véata existe grâce à la cinquantaine de jeunes filles
- désormais 30 tsadkkanioth de notre école !
- qui décident de prendre du temps pour aider vos enfants à s’épanouir!
En choisissant de devenir « tutrices », les jeunes filles soutiennent les enfants…
ainsi que leurs parents, puisque: un enfant plus confiant, c’est un parent plus souriant!
Toutes les volontaires supplémentaires, d’où qu’elles viennent, sont les bienvenues !
Si vous avez des garçons entre le CP et le CM2 ou des filles entre le CP et la 3ème ,
quel que soit leur établissement d’origine, alors l’association Ani Véata est faite pour vous !
Elle peut vous aider!
Il ne vous reste qu’une chose à faire:
Contacter Shirel Haddad, la fondatrice de Ani Veata, au 06 20 38 08 49.
Puisse Hachem accorder pleine réussite et succès à cette association, sa directrice, ses bénévoles,
et ses bénéficiaires, Amen.
Puisse-t-Il ainsi, par leur mérite, hâter la venue du Machia’h, Amen Véamen !
Chers Amis et Chers Enfants,
L'histoire providentielle et bien évidemment vraie ci-dessous est volontairement écrite à la première personne ...Partagez autour de vous,cela peut grandement servir ...
« Je suis âgé de 28 ans et marié depuis peu. Le plus souvent je sillonne les rues de Jérusalem, vous l’avez compris, je suis un chauffeur de taxi.
Ce n’est pas un métier facile car, le plus souvent, je suis en quête de clients…
Sans compter que la conduite de mes compatriotes israéliens m’impose un niveau de vigilance au volant presque comparable à celui requis au pilotage d’un Boeing.
Généralement les clients sont agréables et généreux, mais il peut aussi arriver que je sois confronté à la mauvaise humeur de certaines personnes.
Que vous dire de plus sinon que malgré tout j’aime mon travail !?
Ce jour-là, je suis contacté par un client qui souhaite que je le conduise à Haïfa.
Dans notre jargon professionnel on appelle cela « un bonbon », une course intéressante sur un plan pécuniaire.
Nous quittons donc Jérusalem pour Haïfa sous un soleil hivernal bienveillant… Je dépose mon client à l’adresse qu’il m’indique et je décide de m’octroyer une petite pause, le temps de prendre un bon café ressourçant.
Mon regard est attiré par une affiche nécrologique (c’est courant en Israël) qui annonce la disparition de SHOSHANA RAHMINOV.
Je ne connais personne à Haïfa, mais ce nom m’interpelle….
Sur l’affiche il est mentionné l’adresse de la famille…
Je remonte dans mon taxi, décidé à rejoindre rapidement les miens à Jérusalem, je roule quelques centaines de mètres, et mécaniquement, je rebrousse chemin afin de nouveau scruter cette affiche.
Je prends note de l’adresse, et aussi « mécaniquement » que précédemment je m’y rends.
Je suis devant un vieil immeuble, descendre de ma voiture ou pas ? De façon irrésistible, porté par mes pieds, je me dirige vers l’appartement, non sans appréhension car on me questionnera sans doute, et que pourrais-je alors répondre ?
Je pénètre dans l’appartement où un silence pesant règne, les gens sont assis sur un tapis en signe de deuil…
Deux personnes qui viennent d’arriver échangent à voix basse avec ceux qui doivent être les enfants de la défunte…
Je me résous à prononcer la phrase d’usage et je me lève…
- « Bonjour, vous avez peut-être connu ma mère ? »
De façon spontanée, j’explique que je suis là par hasard, mon métier, ma vie à Jérusalem.
- « Ma mère était une femme exceptionnelle… Depuis 27 ans, en dépit de son travail, elle n’a eu de cesse d’aller au chevet d’enfants accidentés de la route, leur apportant un peu de lumière et de réconfort dans leur lit d’hospitalisation ».
Emu, je me dis que j’ai bien fait de me laisser transporter jusqu’ici car SHOSHANA était une grande dame.
Je salue tout le monde et je rentre chez moi.
becedaireSur le chemin du retour, quelque peu perturbé par ce qui m’est arrivé ce matin, je m’arrête chez mon père qui est veuf depuis longtemps…
Je lui raconte mon aventure et, toujours égal à lui-même, il me dit : « mon fils, le hasard n’existe pas. Si tes jambes t’ont inspiré pour te rendre auprès de cette famille c’est qu’il doit exister une raison que découvriras d’ici peu ».
Je garde cela quelque part dans mon cœur…
Deux jours plus tard, je suis appelé par la centrale de taxi qui m’emploie :
- « Il y a quelqu’un qui te cherche, il s’appelle David RAHMINOV, il insiste, je te transfère l’appel… »
C’est le mari de la pauvre SHOSHANA qui semble très ému :
- « Dis-moi, as-tu été victime d’un accident de la route ? »
Là, c’est très fort pour moi, je suis saisi, presque choqué.
- « Oui, j’avais un an lorsqu’une voiture nous a heurtés ma mère et moi. Elle est morte.»
- « Mais sais-tu où cela s’est passé précisément ? »
- « Oui, au coin de la Rue David »
Et là un silence sur la ligne …. La voix tremblante de David RAHMINOV poursuit :
- « Tu n’es pas venu par hasard jusqu’à nous. C’est SHOSHANA mon épouse qui était la première à vous porter secours. Et c’est d’ailleurs à partir de ce jour qu’elle prit sur elle de visiter les enfants accidentés et hospitalisés… »
Est-il nécessaire que je vous décrive mon émotion ?
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande.
GZ